«SANTIANO»
C´est un fameux trois-mâts fin comme un oiseau.
Hisse et ho, Santiano!
Dix huit nœuds, quatre cent tonneaux :
Je suis fier d´y être matelot.
(Refrain:)
Tiens bon la vague tiens bon le vent.
Hisse et ho, Santiano!
Si Dieu veut toujours droit devant,
Nous irons jusqu’à San Francisco.
Je pars pour de longs mois en laissant Margot.
Hisse et ho, Santiano!
D´y penser j´avais le cœur gros
En doublant les feux de Saint-Malo.
(refrain)
Tiens bon la vague tiens bon le vent.
Hisse et ho, Santiano!
Si Dieu veut toujours droit devant,
Nous irons jusqu’à San Francisco.
On prétend que là-bas l´argent coule à flots.
Hisse et ho, Santiano!
On trouve l´or au fond des ruisseaux.
J´en ramènerai plusieurs lingots.
(refrain)
Tiens bon la vague tiens bon le vent.
Hisse et ho, Santiano!
Si Dieu veut toujours droit devant,
Nous irons jusqu’à San Francisco.
Un jour, je reviendrai chargé de cadeaux.
Hisse et ho, Santiano!
Au pays, j´irai voir Margot.
A son doigt, je passerai l´anneau.
Tiens bon la vague tiens bon le vent.
(Tiens bon le cap tiens bon le flot.)
Hisse et ho, Santiano!
Sur la mer qui fait le gros dos,
Nous irons jusqu’à San Francisco.
Hisse et ho, Santiano!
Dix huit nœuds, quatre cent tonneaux :
Je suis fier d´y être matelot.
(Refrain:)
Tiens bon la vague tiens bon le vent.
Hisse et ho, Santiano!
Si Dieu veut toujours droit devant,
Nous irons jusqu’à San Francisco.
Je pars pour de longs mois en laissant Margot.
Hisse et ho, Santiano!
D´y penser j´avais le cœur gros
En doublant les feux de Saint-Malo.
(refrain)
Tiens bon la vague tiens bon le vent.
Hisse et ho, Santiano!
Si Dieu veut toujours droit devant,
Nous irons jusqu’à San Francisco.
On prétend que là-bas l´argent coule à flots.
Hisse et ho, Santiano!
On trouve l´or au fond des ruisseaux.
J´en ramènerai plusieurs lingots.
(refrain)
Tiens bon la vague tiens bon le vent.
Hisse et ho, Santiano!
Si Dieu veut toujours droit devant,
Nous irons jusqu’à San Francisco.
Un jour, je reviendrai chargé de cadeaux.
Hisse et ho, Santiano!
Au pays, j´irai voir Margot.
A son doigt, je passerai l´anneau.
Tiens bon la vague tiens bon le vent.
(Tiens bon le cap tiens bon le flot.)
Hisse et ho, Santiano!
Sur la mer qui fait le gros dos,
Nous irons jusqu’à San Francisco.
Esta composição tem letra francesa de Jacques Plante e a música é, muito provavelmente, inspirada numa canção de marinheiros ingleses do século XIX. Que, durante a guerra entre os Estados Unidos e o México a cantavam em louvor do general-presidente Antonio López de Santa Anna, para fazerem pirraça aos ex-súbditos de Sua Majestade Britânica. Daí o nome esquisito da canção actual, «Santiano», que é, ao que parece, uma deformação do apelido do vencedor de Forte Álamo. Outros especialistas pensam, no entanto, que a canção em questão é muito mais antiga e que fazia referência a Santa Ana, padroeira da Bretanha e dos marinheiros dessa região costeira de França. De qualquer modo, na sua versão moderna, a dita foi popularizada por Hugues Aufray no início dos anos 60. Outros artistas a incluíram no seu repertório, tais como Laurent Voulzy ou o excelente grupo coral Les Marins d'Iroise. Pode ouvi-la no You Tube, cantada por qualquer destes artistas. É só escolher. Apreciador de canto polifónico, devo referir que gosto muito da maneira como «Santiano» é interpretada pelos Marins d'Iroise.
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